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Les Dimanches de la Canebière. Politiques d’attractivité et événements culturels à l’échelle de la rue

Comment les événements culturels contribuent-ils à l’attractivité urbaine ? Nicolas Maisetti étudie le cas des Dimanches de la Canebière et interroge l’avenir de la politique de reconquête socio-spatiale de l’hyper-centre de Marseille qui a présidé à la mise en place de cet événement.


Dossier : Marseille : les batailles du centre-ville

À l’occasion du 90e anniversaire de la « création [1] » de la Canebière en janvier 2017, la mairie du premier secteur de Marseille (regroupant les 1er et 7e arrondissements, au cœur du centre-ville) inaugure les « Dimanches de la Canebière ». Un dimanche par mois, l’artère est fermée à la circulation automobile pour laisser place à des animations culturelles (spectacles de rue, concerts, stands de disques et de livres) et des marchés de producteurs locaux. Au total, et jusqu’au confinement de mars dernier, vingt-cinq éditions ont été tenues suivant des programmations hétérogènes. Il ne s’agit pas ici de décrire le détail de ces événements ni d’étudier leurs publics, mais d’analyser les intentions, les ressources et les instruments politiques de leurs organisateurs, et les enjeux qu’ils soulèvent en termes d’action publique urbaine. La mairie de secteur (LR) qui porte l’initiative met en avant deux objectifs conjoints : d’une part, s’appuyer sur ces événements pour améliorer « l’attractivité » de la Canebière et partant de l’hyper-centre ; d’autre part, redonner à cette artère son « lustre d’antan », c’est-à-dire renouer avec un âge d’or fantasmé de la fréquentation et des usages du lieu.

Au cours de l’entretien qu’elle m’a accordé en février 2019, la maire d’arrondissement (2014-2020), Sabine Bernasconi, sortant d’une séance de conseil municipal tendue et dominée par la question de l’effondrement des immeubles de la rue d’Aubagne [2], évoquait spontanément la situation du logement dans le centre-ville :

Aujourd’hui, il y a encore beaucoup à faire, vous imaginez, dans le centre-ville. Il y a une crise du logement sans précédent qui est venue maintenant [ndlr : souligné par l’auteur] prendre la priorité sur tout […]. Mais justement, il y a un tout à former. Il y a un enjeu à gagner. C’est-à-dire faire évoluer une ville et son centre qui est sa vitrine, son facteur d’attractivité, son facteur de rayonnement (entretien avec Sabine Bernasconi, maire du 1er secteur de Marseille, 4 février 2019).

Le lien qu’elle établit donc elle-même avec les Dimanches de la Canebière permet de mieux saisir la manière dont se construit la notion de vitrine, dans des opérations d’attractivité urbaine reposant sur des événements culturels à l’échelle d’une rue. Sans relation directe avec cet événement [3], la rénovation sur la Canebière de l’Îlot des Feuillants et sa transformation en hôtel et brasserie « de luxe » articulent d’une manière assez proche, à la fois le lien entre « vitrine » et « attractivité » et le rapport ambigu que ces politiques entretiennent avec la question de l’habitat indigne. L’Îlot des Feuillants est situé à l’entrée de Noailles, à 400 mètres des 63 et 65, rue d’Aubagne [4].

Le cas des Dimanches de la Canebière permet d’interroger les liens entre les opérations culturelles et l’imaginaire social des décideurs à une échelle inhabituelle pour les politiques d’attractivité mobilisant des événements culturels (Miles et Paddison 2005). Il ne s’agit pas en effet d’intervenir à l’échelle métropolitaine, ni même à celle d’un quartier, mais d’une rue. Est-il nécessaire de préciser qu’il ne s’agit pas seulement d’« une » rue, puisque la Canebière fait partie du patrimoine local et contribue à définir la ville (Pecot et de Barnier 2015) ? De même que le Vieux-Port, elle a ainsi pris une fonction métonymique : ne dit-on pas « sur la Canebière » pour signifier Marseille ? Comme l’écrit le média d’informations locales en ligne Marsactu, « entre puissance naturelle et vitrine attractive, la Canebière reste une impressionnante fabrique d’images, ambivalente où se croisent âge d’or, déclin et creuset de diversité culturelle » (Marsactu, 4 février 2017). En conservant à l’esprit le périmètre étroit de l’initiative, on analysera ici les Dimanches de la Canebière en tant qu’élément d’une action publique plus large, reposant sur une opération culturelle envisagée comme un levier pour composer une « vitrine » à partir de la réinvention d’un prétendu « lustre » passé.

D’Ambition Centre-Ville aux Dimanches de la Canebière

Les Dimanches de la Canebière s’inscrivent dans une démarche qualifiée par la municipalité de « globale et collective », regroupée dans un document-cadre intitulé « Ambition Centre-Ville ». Ce document a été cosigné par la Ville et le département des Bouches-du-Rhône en décembre 2017 [5]. La démarche est supposée se traduire par un plan d’investissement de 100 millions d’euros sur trois ans, mais elle rassemble des initiatives hétérogènes, dont certaines sont réalisées ou en cours d’achèvement et d’autres demeurent à l’état de projet. Cinq axes de travail y sont identifiés : espace public (du wifi municipal à l’éclairage public en passant par la végétalisation des rues ou les toilettes publiques) ; qualité de vie-sécurité (« vidéo-protection » et brigades de nuit de la police municipale, par exemple) ; économie et commerce (droit de pré-préemption sur les fonds commerciaux) ; logement et habitat (la lutte contre l’habitat indigne est mentionnée) ; culture et animation (les Dimanches de la Canebière sont présentés comme le dispositif phare à côté de l’ouverture prochaine d’un cinéma en lieu et place de l’ancienne mairie de secteur). Cette initiative s’inscrit donc dans une longue histoire de tentatives de « requalifier » l’artère, notamment à partir du levier culturel. Elle succède au plan Canebière de 1991 (Hernandez et al. 2013), ainsi qu’au plan « Canebière centre-ville » lancé en 2009 dans la perspective d’un événement culturel d’une tout autre ampleur, la Capitale européenne de la culture en 2013 (Verdeil 2013).

Dans un courrier qui accompagne la signature de la démarche Ambition Centre-Ville, Jean-Claude Gaudin qualifiait les objectifs de la manière suivante : « Dessiner le visage d’une métropole d’avenir, attractive et dynamique. Cet avenir repose, aussi, sur la reconquête de son cœur historique et, plus largement, du centre-ville tout entier. » Il faisait ainsi sienne une conception revanchiste des politiques urbaines (Smith 1996). Tout se passe comme si le centre avait été déserté par ses couches bourgeoises (Zalio 1999), puis envahi et occupé par des populations considérées comme illégitimes, soit, sans nécessairement les désigner de manière explicite, les catégories populaires et les populations issues des migrations. Beaucoup se souviennent à Marseille des propos de Jean-Claude Gaudin tenus en 2001 : « Le Marseille populaire, ce n’est pas le Marseille maghrébin, ce n’est pas le Marseille comorien. Le centre a été envahi par la population étrangère, les Marseillais sont partis. Moi, je rénove, je lutte contre les marchands de sommeil et je fais revenir des habitants qui payent des impôts. » Il reprend cette rhétorique de l’invasion à la suite des débordements qui ont suivi la qualification algérienne pour le Mondial de football sud-africain en novembre 2009, évoquant à l’occasion d’un débat sur « l’identité nationale » les « 15 000 musulmans qui ont déferlé sur le port ». Les Dimanches de la Canebière constituent ainsi le volet « culturel » de ce dispositif de reconquête socio-spatiale conçu pour composer la vitrine des « politiques d’attractivité » à l’échelle du quartier hyper-central. Pour mettre en œuvre cette politique publique, la maire de secteur s’appuie sur les ressources politiques qu’elle accumule en tant que vice-présidente du département chargée de la culture.

Plutôt « pousser des tendances » que « vendre des chaussettes »

Interrogée sur la genèse et les axes directeurs qui ont conduit à l’invention des Dimanches de la Canebière, Sabine Bernasconi [6] explique qu’il s’agit d’une de ses premières initiatives à son arrivée après les élections municipales de mars 2014. Elle dit s’être interrogée sur les « leviers qui pouvaient contribuer à raviver le centre-ville ». Elle s’appuie sur le diagnostic d’un centre-ville dévitalisé sur le plan commercial en raison de la concurrence des grands centres commerciaux récemment construits à proximité (Terrasses du Port, Docks, puis Prado-Michelet). Pour autant, l’enjeu, selon elle, serait de ne pas réduire le cœur de ville à sa dimension commerciale. Convoquant l’histoire longue de la Canebière et de Marseille ainsi que les imaginaires associés, elle exprime sa « révolte » de voir la question de la revitalisation de la Canebière se réduire « à la bonne santé, ou pas, de ses commerces ». L’enjeu serait donc de procéder à un pas de côté par rapport à la problématique des concurrences commerciales entre grands centres et centre historique : « Quand on vient dans le centre-ville de Marseille, ce n’est pas pour acheter des chaussettes […]. On fait les Dimanches de la Canebière pour redire aux Marseillais que la Canebière, ce n’est pas un centre commercial, c’est l’âme, le cœur battant de la ville. »

La culture, ici, est présentée comme un recours – sans être autrement définie en détail. « On s’est demandé avec mes équipes ce qui faisait la force du centre-ville dans les années où il allait bien, quelles en sont ses difficultés aujourd’hui et quelles sont les tendances qu’on pourrait pousser. » C’est donc à partir d’un passé imaginé que l’événement culturel récurrent (Grésillon 2014) est pensé, en vue de projeter un futur tout autant fantasmé qu’objectivé par les résultats d’un diagnostic urbain [7]. Rejetant, pour autant, le « passéisme et la nostalgie », elle indique vouloir capitaliser (« s’appuyer sur ses forces intrinsèques ») sur ce patrimoine de la ville défini comme un centre culturel. La question des « tendances » traduirait quant à elle l’idée du « laboratoire de la ville de demain », et au-delà du mot d’ordre marketing, pourrait s’inscrire dans l’ambition de se constituer en « trendsetter », pour reprendre le mot de Vincent Béal (2014), c’est-à-dire en modèle « capable de prescrire le contenu des politiques urbaines conçues aux échelles nationale et européenne ».

Conformément à la stratégie qui préside désormais à la mise en œuvre des projets urbains, le diagnostic sur les difficultés de l’artère (« lieu de tensions, de pollution, d’embouteillage ») s’est accompagné d’une identification de ses atouts. « Identifiant les forces, évidemment, il y en a une qui s’est imposée naturellement, c’est la culture », poursuit-elle, dans un exercice d’essentialisation de la ressource « culturelle » à des fins non pas seulement d’attractivité, mais comme outil visant à nouer le fil temporel entre le passé patrimonialisé – « il y a ici ce que le monde entier nous envie, c’est une histoire vieille de 2 600 ans » – et l’avenir – « pousser des tendances ». Un recensement lui a permis d’identifier quatre-vingts acteurs culturels à l’échelle du secteur. Le cumul des mandats de maire d’arrondissement et de vice-présidente du Département déléguée à la culture constitue pour Sabine Bernasconi un atout pour mettre en œuvre les Dimanches de la Canebière. Certains acteurs culturels ne pouvant refuser de participer à ces événements, y compris sur leur budget propre [8], au risque de se priver de financements du puissant guichet départemental. Cette multi-positionnalité de l’élue [9] constitue une ressource indéniable dans le rééchelonnement des politiques d’attractivité et son déploiement à l’échelle d’une rue. C’est en effet depuis son mandat départemental et son attribution de vice-présidente qu’elle peut relocaliser une politique publique à l’échelle et au profit du quartier dont elle est élue.

L’attractivité supposée du lustre d’antan

Un paradoxe se loge donc au cœur de l’initiative de reconquête. D’un côté, il s’agit de « préfigurer le Marseille de demain », de l’autre de renouer avec un passé mythifié (comme tous les âges d’or) mais aussi réifié à partir d’une convocation simpliste de « l’identité, de l’histoire et du patrimoine » (Marsactu, 27 janvier et 4 février 2017) de la Canebière. C’est ainsi que l’on peut comprendre la place importante laissée au marché provençal dans la programmation.

Les Dimanches de la Canebière reposent sur l’organisation d’animations périodiques, comme dans de très nombreuses villes : piétonnisation, marchés locaux, spectacles vivants et concerts. Nantes, Barcelone, Boston et Montréal sont cités en exemple par l’office du tourisme. La plupart des stéréotypes habituellement accolés à ces initiatives sont mobilisés par la mairie de secteur pour justifier l’opération. Ainsi, il s’agit de proposer une « vitrine », une « préfiguration du Marseille de demain » afin de transformer la Canebière en « Soho » ou « Broadway marseillais » (GoMet’, 18 octobre 2015 ; AFP, 4 mars 2017), voire de fabriquer une « Canebière living lab » définie comme un « objet monde et quartier totem du numérique et de l’innovation » (Marsactu, 6 avril 2017). Ces appellations rappellent les stratégies de « pacification au cappuccino » (domestication by Cappuccino) analysées par Sharon Zukin (1995) dans lesquelles la « culture » occupe une place centrale au côté des dispositifs en apparence plus menaçants que sont la vidéo-surveillance ou le renforcement de la sécurité – qui n’ont pas disparu. Il s’agit de s’appuyer sur les « valeurs positives que [la culture] véhicule, tout en la vidant de sa substance. Les espaces publics ainsi produits rassurent en même temps qu’ils contraignent, accueillent en même temps qu’ils excluent » (Germain, Liégeois et Hoernig 2007).

Finalement, les Dimanches de la Canebière nous renseignent moins sur le contenu des politiques d’attractivité, et encore moins sur le contenu de politiques culturelles, que sur la « circulation circulaire » (Bourdieu 1996) de mots-clés et la mobilisation d’imaginaires collectifs figés et caricaturaux, qui peinent à combler le vide argumentatif d’une telle action publique urbaine [10].

Épilogue

Après les dernières élections municipales qui se sont achevées sur la victoire à la mairie centrale des listes du Printemps Marseillais, une large coalition de gauche (PS-PC-LFI-PRG-Génération·s-Place publique et société civile) menée par Michèle Rubirola, le premier secteur a également connu une alternance. La candidate du Printemps Marseillais, Sophie Camard, par ailleurs suppléante du député Jean-Luc Mélenchon et membre de la France Insoumise, a succédé à Sabine Bernasconi. Cette alternance allait-elle signifier la fin de l’expérience des Dimanches de la Canebière ? En juillet 2020, à l’issue du premier conseil de secteur des 1er et 7e arrondissements, Sophie Camard exprime son intention de maintenir ces événements [11] : « Faire respirer et vivre la Canebière une fois par mois, libérée des voitures et animée, oui, c’est notre souhait. On va mettre en place un groupe de travail au sein de la mairie de secteur pour voir comment on peut garder cet événement, peut-être en le transformant un peu, en appuyant sur les thématiques écologiques, par exemple, j’ai des demandes dans ce sens. » La première justification de la poursuite de ces rendez-vous ne repose pas exactement sur les mots d’ordre d’attractivité, mais sur une focale environnementale et écologique. Est-ce à dire que les ambitions écologiques sont solubles dans l’horizon entrepreneurial ? Ou au contraire que l’opération culturelle peut faire l’objet d’usages politiques alternatifs [12], pouvant même contrer, le cas échéant, des politiques urbaines néolibérales à partir desquelles les opérations culturelles ont pourtant été pensées ?

Bibliographie

  • Béal, V. 2014. « “Trendsetting cities” : les modèles à l’heure des politiques urbaines néolibérales », Métropolitiques [en ligne].
  • Béal, V. et Rousseau, M. 2014 et 2015. « Alterpolitiques ! », Métropoles [en ligne], n° 15 et 17.
  • Blès, A. 1994. La Canebière, dans le temps et dans l’espace, Marseille : Éditions Jeanne Laffitte.
  • Bourdieu, P. 1996. Sur la télévision, Paris : Raisons d’agir.
  • Froment, P. et Grésillon, B. (dir.). 2014. « Faire durer l’événement : un enjeu contemporain pour le développement des villes », dossier spécial de Rives méditerranéennes, n° 47.
  • Germain, A., Liégeois, L. et Hoernig, H. 2007. « L’espace public à l’épreuve des religions : des paysages pluriels à négocier », in A. Da Cunha et L. Matthey (dir.), La Ville et l’urbain : des savoirs émergents, Lausanne : Presses polytechniques et universitaires romandes, p. 321-340.
  • Griffiths, R. 1998. « Making sameness : place marketing and the new urban entrepreneurialism », in N. Oatley (dir.), Cities, Economic Competition and Urban Policy, Londres : Paul Chapman, p. 41-57.
  • Hernandez, F., Bertoncello, B., Méjean, P. et Bertoni, A. 2013. Marseille, les fragilités comme moteur pour l’invention d’une centralité métropolitaine originale, Rapport pour le PUCA-POPSU, 62 p.
  • Miles, S. et Paddison, R. 2005. « The Rise and Rise of Culture-Led Urban Regeneration », dossier spécial de Urban Studies, vol. 42, n° 5-6, p. 833-839.
  • Pecot, F.et de Barnier, V. 2015. « Stratégies de marques de ville basées sur le patrimoine de marque : le rôle des symboles », Management & Avenir, vol. 78, n° 4, p. 143-159.
  • Smith, N. 1996. The New Urban Frontier. Gentrification and the Revanchist City, New York : Routledge.
  • Verdeil, É. 2013. « Marseille, capitale de la culture 2013 – et après ? », Métropolitiques [en ligne].
  • Zalio, P.-P. 1999. Grandes Familles de Marseille au XXe siècle. Enquête sur l’identité économique d’un territoire portuaire, Paris : Belin.
  • Zukin, S. 1995. The Cultures of Cities, Oxford : Blackwell.

Presse

  • « Sabine Bernasconi : “Mon rêve, c’est que l’on parle de Broadway, Soho et de la Canebière” », GoMet’, 21 octobre 2015.
  • « Les Dimanches de la Canebière ou l’art de mettre une girafe en vitrine », Marsactu, 27 janvier 2017.
  • « Christophe Apprill : “La culture permet de rendre la ville plus attractive donc consommable” », Marsactu, 28 janvier 2017.
  • « La municipalité veut moins de commerces vides, de snacks et de taxiphones en centre-ville », Marsactu, 2 février 2017.
  • « En attendant dimanche, à chacun sa Canebière », Marsactu, 4 février 2017.
  • « À 90 ans, la Canebière se rêve en “broadway marseillais” », AFP, 4 mars 2017.
  • « “Smart city”, “safe city” ou “Canebière living lab”, élus et patrons rêvent le centre-ville », Marsactu, 6 avril 2017.
  • « Le plan “Ambition centre-ville” ou l’art du ravalement de façade », Marsactu, 8 décembre 2017.
  • « Centre-ville : le rapport qui acte l’ampleur des dégâts », Marsactu, 8 décembre 2017.
  • « Ambition centre-ville : la métropole fait dans la dentelle », Marsactu, 14 décembre 2017.

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Pour citer cet article :

Nicolas Maisetti, « Les Dimanches de la Canebière. Politiques d’attractivité et événements culturels à l’échelle de la rue », Métropolitiques, 7 juin 2021. URL : https://metropolitiques.eu/Les-Dimanches-de-la-Canebiere-Politiques-d-attractivite-et-evenements-culturels.html

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