Accéder directement au contenu
Commentaires

Le jeu des sept classes sociales britanniques

Dans une enquête inédite par son ampleur et par sa résonance sociale, une équipe de chercheurs réactive l’analyse des classes sociales dans la Grande-Bretagne du début du XXIe siècle. Leur recherche met au jour les nouvelles lignes de fracture d’une société divisée en sept classes et soulignent le processus de polarisation urbaine qui traverse la société.
Recensé : Mike Savage (dir.), 2015, Social Class in the 21st Century, Londres : Pelican (Penguin Books), collection « A Pelican Introduction », 449 pages.

Si un seul nom propre orne la couverture de Social Class in the 21st Century, la quatrième de couverture rend justice au caractère collectif du travail dont l’ouvrage est issu. Mike Savage, directeur du département de sociologie de la LSE (London School of Economics and Political Science) et co‑directeur de l’International Inequalities Institute récemment créé en son sein, a en effet été épaulé par huit collègues, selon une division du travail détaillée dans les remerciements placés en ouverture. Il fallait bien une équipe pour mener l’ample recherche dont ce livre est le produit, laquelle vaut depuis 2013 à leurs auteurs une renommée extra-universitaire inhabituelle.

Le « Great British Class Survey » : trois capitaux, sept classes sociales

Social Class in the 21st Century prend appui sur une enquête nommée le « Great British Class Survey » (GBCS), présentée dans l’introduction ainsi que dans une courte annexe. Essentiellement quantitative, puis complétée par un volet qualitatif (cinquante entretiens individuels), cette enquête est hors norme sur plusieurs plans. Le premier est sa taille : l’épithète « great » n’est pas usurpé puisque, avec plus de 160 000 questionnaires remplis (par voie électronique), il s’agit de la plus grande étude sur les classes sociales jamais réalisée en Grande-Bretagne (p. 5). Le deuxième réside dans un partenariat avec un grand média : cette enquête a été menée conjointement avec la BBC (British Broadcasting Corporation), qui en fut même à l’initiative en janvier 2011. Grâce à cette collaboration, les premiers résultats divulgués en 2013 ont bénéficié d’une forte médiatisation, facilitée par une représentation infographique en ligne présentant d’une manière attrayante et interactive les sept classes sociales distinguées par l’analyse, en permettant, qui plus est, de s’y situer via le « Class Calculator ». D’où – troisième plan – un écho public hors du commun pour une étude universitaire, donnant même lieu à divers détournements parodiques. L’impact fut tangible sur le débat public… si ce n’est à court terme sur les pratiques sociales elles-mêmes. Mike Savage livre, en effet, l’anecdote suivante : la semaine qui a suivi la publication du « Class Calculator », la demande de billets de théâtre a soudainement augmenté, car la fréquentation du théâtre y était présentée comme un indice de capital culturel (p. 6). Ce n’est pour l’auteur qu’une illustration parmi d’autres du fait que le regain d’intérêt pour les inégalités va bien au-delà de la sphère académique.

Dans la foulée, il signale le biais majeur du sondage : la forte surreprésentation, parmi les répondants, des classes supérieures et des fractions les plus diplômées (grosso modo le public de la BBC…), pour des raisons sur lesquelles revient notamment le chapitre 9, consacré à l’élite. Inversement, certains secteurs subalternes de l’industrie et des services sont peu, voire pas, représentés. Le biais est si important qu’il a motivé un sondage complémentaire sur un échantillon restreint pour le contrebalancer (cf. infra). Il est déjà, en soi, un signe des divisions de classe qui traversent un pays particulièrement inégalitaire.

Le GBCS dresse alors une nouvelle cartographie des classes sociales britanniques. Il le fait en tenant ensemble la réaffirmation de l’importance décisive de la variable de classe pour comprendre le fonctionnement social (elle importe même « plus que jamais », indique une phrase en accroche sur la dernière de couverture) et le fait de prendre acte d’une complexification qui rend caduques les conceptions binaires basées sur les seules « working class » et « middle class », sur lesquelles le regard ordinaire, mais aussi savant, se focalisent outre mesure. C’est l’enjeu du premier chapitre, « Contesting Class Boundaries », qui, à travers une mise en perspective historique, revient sur la façon dont cette distinction a structuré la formation objective des classes sociales, en même temps que les perceptions subjectives des frontières et identités de classe. Le livre va jusqu’à affirmer que l’obsession pour cette opposition fonctionne comme un « écran de fumée » (p. 27) masquant les changements cruciaux qui animent les échelons supérieurs de la structure sociale. Sur les sept classes distinguées par l’analyse (cf. tableau 1, qui indique également le biais de l’échantillon évoqué précédemment), celles qui occupent les extrêmes – l’élite (fortunée) tout en haut, le précariat tout en bas – sont les plus spécifiques, et la première plus encore que la seconde.

Tableau 1. La hiérarchie des classes sociales britanniques selon le GBCS

Source : Social Class in the 21st Century, p. 174 (tableau 5.2) [1]

La formulation de ce constat renvoie à la définition des classes sociales mise ici à contribution. Sous l’influence déclarée de Pierre Bourdieu (la seconde référence majeure du livre étant Thomas Piketty), elle procède de l’articulation entre trois espèces de capitaux : économique, culturel et social, qui font respectivement l’objet des chapitres 2, 3 et 4 – le chapitre 5 établissant la connexion entre les trois (en faisant le lien, le cas échéant, avec d’autres variables, notamment l’âge). Il s’agit en cela de rompre avec la définition canonique des classes sociales sur la base du métier ou de l’activité (« occupation »). Or, l’« élite » et le « précariat » (terme choisi contre le terme stigmatisant d’« underclass ») sont les deux seules caractérisées par une homologie entre ces trois types de capitaux – le cumul des trois pour la première et leur absence pour le second. Entre les deux, du fait de combinaisons variables entre ces types de capitaux, les rapports sont plus flous. Ils rendent discutable, aux dires mêmes des auteurs, le fait de placer la « technical middle class » au-dessus des « new affluent workers » du fait de la supériorité de son capital économique, alors que le rapport est inverse à l’aune du capital culturel ou social.

Quoi qu’il en soit, en définissant les classes sociales sur cette base atypique du point de vue de la littérature anglophone, on change de vision de la structure sociale. Au lieu de se focaliser sur les seuls échelons intermédiaires (sachant que « tout le monde » tend à se situer « au milieu », voire « au milieu du milieu »), on voit au contraire apparaître en pleine lumière sa polarisation, particulièrement par le haut. Le chapitre 9 est ainsi consacré à la classe supérieure ou élite (fortunée). Ce chapitre entend rompre avec l’image aussi tenace que périmée d’une classe supérieure associée à l’aristocratie ou la gentry (le terme d’« establishment » étant, de ce point de vue, trompeur), sans céder pour autant à l’attraction du signe numérique « 1 % » (les 1 % les plus fortunés dénoncés par le mouvement Occupy Wall Street sous l’impulsion notamment de l’anthropologue David Graeber) ou à l’opulence ostentatoire des seuls « super-riches ». Le livre estime ainsi cette élite à 6 % de la population britannique. Qui plus est, il la qualifie d’élite « ordinaire », aussi fortunée qu’elle soit. Le livre met en relief les privilèges objectifs dont jouit cette élite ordinaire qui valorise la « méritocratie » et la réussite par le travail, sans toutefois en faire une classe absolument fermée. Il la définit même comme une « constellation » pour signaler sa relative hétérogénéité interne. C’est néanmoins chez elle qu’on trouve la conscience de classe la plus forte et la plus nette ; on peut ici faire un parallèle avec la thèse de Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot (2006) sur la bourgeoisie comme seule « classe mobilisée ».

Un livre destiné au plus grand nombre

Comme chez ces derniers, d’ailleurs, les analyses de Social Class in the 21st Century sont exposées avec clarté et même un didactisme assumé. Telle est sans doute la qualité maîtresse du livre, à saluer comme il se doit : son accessibilité. Ce n’est pas un hasard si le livre paraît chez un éditeur connu pour mettre à la portée du plus grand nombre – y compris, et ce n’est pas un détail, sur le plan financier – des ouvrages de qualité, en l’occurrence dans une collection explicitement introductive (« A Pelican Introduction »).

C’est un livre manifestement écrit pour un lectorat qui excède les pairs universitaires, porté par le souci de réinjecter le regard sociologique dans un débat public miné par l’individualisation de la question sociale, où les classes sociales sont effacées des grilles de lecture du monde social. On sent un effort méritoire pour éviter toute esbroufe rhétorique et toute pesanteur académique. Cela est manifeste dans la construction (les notes sont regroupées à la fin du volume et ne sont pas multipliées à l’excès), qui sait prendre la lectrice ou le lecteur « par la main », pour les convaincre, par exemple, du fait que les goûts et choix culturels peuvent se comprendre comme un « capital ». Cela l’est autant dans l’écriture, claire et directe : on sourit en voyant que les auteurs semblent presque gênés de citer longuement Bourdieu (p. 47‑48), avant de prévenir dans une note de fin qu’aussi important qu’il soit, La Distinction n’est pas un livre facile d’accès… [2]

L’ouvrage permet, en fait, deux registres de lecture. Il n’exclut pas une lecture « savante » –chacun(e) peut se rapporter aux références académiques données dans les notes pour aller plus loin, ou s’attarder sur la cinquantaine de tableaux, cartes et graphiques qui parsèment le livre – même si les familiers de la sociologie de Pierre Bourdieu auront parfois le sentiment de lire des évidences sociologiques. Mais il privilégie à juste titre une lecture « profane » et c’est sous cet angle qu’il faut le lire. Tout est mis au service d’une approche pédagogique : récapitulatifs réguliers, clins d’œil humoristiques, références ponctuelles aux jeux vidéo, aux réseaux sociaux ou à des programmes télévisés, etc. Les extraits d’entretiens vont dans le même sens : régulièrement mis à profit, ils jouent de fait un rôle important pour incarner les perceptions et opinions ou donner des exemples concrets de logiques générales. C’est par cette stratégie d’écriture habile que débute, par exemple, un chapitre 2 au titre possiblement rebutant : « Accumulating Economic Capital ». La facture du livre est ainsi fidèle à sa teneur même : un livre qui parle de tout le monde doit pouvoir être lu par le plus grand nombre. Le fait que le barycentre soit une université d’élite ne manque évidemment pas de piquant. Reste que la démarche est salutaire.

Elle n’empêche d’ailleurs pas le livre d’être nuancé par-delà quelques formules fortes – par exemple, dans sa manière de discuter l’idée d’un déclin de la mobilité sociale. Tout en soulignant le poids de l’héritage et plus généralement de la transmission intergénérationnelle, il rappelle que le constat dépend de la convention de mesure adoptée et ajoute que cette mobilité demeure sensible au milieu de la structure sociale. Nuancé, le livre est aussi riche des différents aspects qu’il aborde, compte tenu du lectorat visé. Une fois dressé le tableau d’ensemble dans les deux premières parties, les deux parties suivantes entrent dans le détail. D’abord de façon thématique : le chapitre 7 est ainsi consacré à la place des études supérieures, donnant à voir un espace fortement différencié et hiérarchisé au sein duquel, sous le rapport de la trajectoire sociale, la différence tient autant, voire davantage, à l’université que l’on a fréquenté plutôt qu’au fait d’avoir ou non fréquenté l’université. Ensuite, en zoomant sur une partie de la structure sociale, en provoquant au besoin un brusque effet de contraste. Ainsi, après le chapitre 9 consacré à l’élite fortunée, le chapitre 10 prend la structure sociale par l’autre bout en portant sur un « precarious precariat » à la fois visible et invisible – celui-là même qui a boudé l’enquête, justifiant à la fois une enquête quantitative complémentaire sur un échantillon d’un peu plus de mille personnes et une approche qualitative qualifiée un peu vite d’« ethnographique ». Développant davantage la stigmatisation symbolique que la dépossession matérielle, au risque d’être élusif sur les conditions concrètes de survie des membres de cette classe, le chapitre a le mérite de montrer le poids social des classifications à travers des réactions démontrant que les personnes interrogées ne sont pas dupes du sens latent, plus ou moins implicite, des questions qu’on leur pose.

Auparavant, le chapitre 8, « Class and Spatial Inequality in the UK », précédé de développements sur la ségrégation socio-spatiale dès le chapitre 2 (p. 76‑84), devrait particulièrement intéresser les lectrices et lecteurs de Métropolitiques. Débutant par une assertion lapidaire (« Class is geographical ») [3], son objectif est de relativiser l’opposition courante entre le nord (pauvre, industriel, laborieux) et le sud (riche, tertiaire, financier) de la Grande-Bretagne, associée à la division évoquée plus haut entre « working class » et « middle class ». Si cette opposition, tenace dans les représentations sociales, n’est au mieux qu’une approximation grossière de la réalité, elle est en outre éclipsée par deux dynamiques principales mises en relief dans l’ouvrage : d’une part, des cœurs urbains de plus en plus élitaires, sous l’effet d’une ségrégation socio-spatiale croissante ; de l’autre, une domination matérielle et symbolique écrasante du centre-ville londonien (un véritable « vortex » élitaire, lit-on page 297). Londres offre un concentré particulièrement puissant de la gentrification (terme que le livre mentionne somme toute peu), les quartiers de Kensington et Chelsea décrochant la pole position pour les trois types de capitaux considérés. Cependant, le phénomène se retrouve dans d’autres villes, la concentration résidentielle des plus aisés à l’échelle d’un quartier étant même plus forte encore à Manchester, dont le centre-ville était pourtant quasiment à l’abandon dans les années 1980. Dans l’ensemble, le clivage entre centres urbains et périphéries rurales se trouve donc renforcé, se superposant au clivage nord–sud et au clivage entre Londres et le reste du pays.

Forces, faiblesses et perspectives

On ne peut ici passer en revue tous les aspects traités ou abordés par le livre, y compris certains faisant l’objet de développements substantiels, comme le fait que le capital culturel ne s’exprime plus seulement, voire plus prioritairement, dans la culture intellectuelle légitime traditionnelle (highbrow) : en voie de désuétude, elle est concurrencée par un capital culturel « émergent », qui se veut à la fois éclectique, savant et réflexif – dans son aisance à mélanger des genres apparemment incompatibles, notamment. Prenant ostensiblement ses distances avec l’élitisme traditionnel, il est cependant au principe d’une forme de snobisme ou de condescendance culturelle (donc de classe) plus subtile – et généralement déniée – tout aussi puissante (c’est l’objet du chapitre 11). Social Class in the 21st Century brasse de nombreux aspects en essayant de tenir ensemble les dimensions matérielles et symboliques, ainsi que la face objective et la face subjective des classes sociales (il est même question, à propos de l’expérience subjective, de dimensions psychologiques et affectives : voir p. 209 et seq.). Il offre en même temps des éléments sur les discours publics tenus sur elles : un des passages amusants du livre raconte comment une émission de télévision habituellement lénifiante prend une tournure chaotique quand, contre toute attente, l’invitée se met à évoquer l’existence de classes sociales devant une présentatrice soudain désemparée par cette mention incongrue. Il est, d’ailleurs, tout à fait appréciable que, notamment dans la conclusion (« The Old New Politics of Class in the 21st Century »), qui commence par aborder le rapport entre classes sociales et préférences partisanes, les auteurs ne se cachent pas derrière leur petit doigt et assument ouvertement leur parti pris normatif autour notamment d’une « politics of equality » (p. 401) remise au goût du jour.

Le GBCS donne lieu depuis plusieurs années à de vifs débats, pas toujours à fleurets mouchetés, notamment de la part de son plus fervent critique, le sociologue Colin Mills, qui a rebaptisé le GBCS le « Great British Class Fiasco » à cause de ses défaillances méthodologiques. Les auteurs de Social Class in the 21st Century ne manquent pas d’y faire référence (un récent numéro spécial de The Sociological Review (2015) y revient en détail en confrontant défenseurs et critiques, dont Colin Mills dans une contribution en forme de requiem !) et d’y apporter posément des réponses tout en reconnaissant certaines limites, notamment le fait que l’enquête est mal conçue pour saisir les dimensions relatives à l’immigration ou l’ethnicité.

À cela s’ajoutent d’autres critiques, sans compter le fait qu’il paraît audacieux de prétendre valoir pour un XXIe siècle qui n’est qu’entamé. À la suite de Pierre Mercklé (2013), on peut ajouter à la critique méthodologique (concernant le redressement statistique effectué via le questionnaire complémentaire) le fait que l’approche adoptée, dans sa volonté de proposer une vision alternative aux représentations établies, minore des dimensions aussi décisives que le niveau de diplôme (en dépit des éléments présentés dans le chapitre 7) ou les pratiques de consommation. En outre, si l’approche adoptée ne tombe pas dans tous les travers de la conception qu’Erik Olin Wright (2014) qualifie de « stratificationniste », force est de constater que s’il est beaucoup question de divisions de classe, il l’est beaucoup moins de conflit ou de lutte de classes, pourtant constitutifs des classes elles-mêmes. Sans être absent (évoquée à plusieurs reprises, la stigmatisation symbolique en général et langagière en particulier en est bien une dimension), cet aspect n’est guère plus qu’effleuré. La dimension structurante des rapports capitalistes de production et de la division du travail qu’ils génèrent (Bihr 2012) est plus encore passée sous silence. Seule la toute fin de la conclusion y invite en guise d’ouverture, suggérant que c’est le capitalisme néolibéral lui-même qui doit être soumis à la critique [4].

Reste que c’est le grand mérite de Social Class in the 21st Century que de remettre la question des classes sociales au centre du débat public. Si seul le cas britannique est ici radiographié, il est clair que cette expérience, dont l’analyse n’est pas terminée, est porteuse d’une ambition plus générale. Le livre refermé, on se prend à souhaiter la mise sur pied d’un « Great French Class Survey » qui sache tirer le meilleur parti de cette enquête tout en profitant des apports de recherches françaises récentes, parfois inspirées par un protocole atypique telle l’étude des « catégorisations ordinaires de l’espace social français » par jeu de cartes interposé (Deauvieau et al. 2014). De l’enquête menée par Mike Savage et ses collègues, il faudra alors retenir au moins l’effort de « sociologie publique » qui guide ici la restitution des résultats.

Bibliographie

  • Bihr, A. 2012. Les Rapports sociaux de classes, Lausanne : Éditions Page deux.
  • Bourdieu, P. 1979. La Distinction. Critique sociale du jugement, Paris : Minuit.
  • Coulangeon, P. et Duval, J. (dir.). 2013. Trente ans après La Distinction de Pierre Bourdieu, Paris : La Découverte.
  • Deauvieau, J., Penissat, É., Brousse, C. et Jayet, C. 2014. « Les catégorisations ordinaires de l’espace social français. Une analyse à partir d’un jeu de cartes », Revue française de sociologie, vol. 55, n° 3, p. 411‑457.
  • Mercklé, P. 2013. « Le jeu des sept… classes sociales », www.pierremerckle.fr, 24 juin.
  • Pinçon, M. et Pinçon-Charlot, M. 2006 [1998]. Grandes fortunes. Dynasties familiales et formes de richesse en France, Paris : Payot.
  • The Sociological Review. 2015. « Sociologies of Class : Elites (GBCS) and Critiques », vol. 63, n° 2.
  • Wright, E. O. 2014 [2009]. « Comprendre la classe. Vers une approche analytique intégrée », Contretemps, trad. fr. U. Palheta.

Faites un don

Soutenez
Métropolitiques

Soutenez-nous

Pour citer cet article :

Grégory Salle, « Le jeu des sept classes sociales britanniques », Métropolitiques, 25 mars 2016. URL : https://metropolitiques.eu/Le-jeu-des-sept-classes-sociales.html

Lire aussi

Ailleurs sur le net

Newsletter

Recevez gratuitement notre newsletter

Je m'inscris

La rédaction publie

Retrouvez les ouvrages de la rédaction

Accéder

Faites un don

Soutenez
Métropolitiques

Soutenez-nous
Centre national de recherche scientifique (CNRS)
Revue soutenue par l’Institut des Sciences Humaines et Sociales du CNRS

Partenaires