L’urbanisme paysager et écologique est aujourd’hui mobilisé dans les projets d’aménagement urbain (Clergeau 2020). Cette dynamique touche les quartiers d’habitat social, comme en témoigne le succès récent de l’appel à projet « Les quartiers fertiles » de l’Agence nationale de la rénovation urbaine (100 lauréats au niveau national, ANRU 2021), ou le projet de la « rénovation verte du grand Belle-Beille » (2016-2027), à Angers.
Les grands ensembles, forme emblématique de l’habitat social planifié et aménagé par l’État, se caractérisent par leur architecture de tours et de barres, la dimension des opérations et leur zone d’implantation (Bertho 2014). Si ce type de quartier semble doté d’une abondance d’espaces verts, certains le voient pourtant « comme un archétype de la ville repoussante » (Guet 2011).
Appréhender la singularité de ces quartiers présents dans toutes les villes de France constitue un enjeu pour les collectivités. Le déficit, voire l’absence, dans des situations socialement défavorisées, des bienfaits du végétal et de la nature tels qu’ils ont été démontrés à l’échelle de la ville (Laille et al. 2013), touche à la fois les humains, les équilibres naturels et l’économie. Il apparaît comme une forme d’inégalité environnementale s’ajoutant aux difficultés sociales, économiques ou de sécurité. Certaines collectivités se posent la question : quelles interventions permettraient aux espaces verts de mieux contribuer à la qualité urbaine ?
Dans cette perspective, le concept des « solutions fondées sur la nature » (SfN) – des actions conçues pour répondre à divers enjeux environnementaux, sociaux et économiques, qui sont inspirées, soutenues ou copiées sur la nature (CE 2015) [1] – semble une opportunité pour une nouvelle lecture des espaces verts des grands ensembles, afin d’aborder les liens entre la forme urbaine, la question sociale et l’environnement.
Des solutions fondées sur la nature dans un projet de rénovation urbaine : le cas de Nantes Nord
Le projet de rénovation urbaine [2] en cours dans les quartiers Nord de Nantes (figures 1 et 2), se caractérise par une orientation d’urbanisme paysager, ce qui transparaît dans le plan guide de l’équipe de conception dirigée par l’agence d’architecture et d’urbanisme Germe & Jam (2020). Conjointement, Nantes Métropole expérimente un certain nombre de SfN en concertation avec les habitants de ces quartiers, dans une démarche de recherche-action menée au titre du projet de recherche européen Urbinat (2018-2023). Ce dernier analyse certaines opérations menées dans le projet urbain, mais intègre aussi des expérimentations spécifiques.
Les SfN utilisent les caractéristiques et les processus naturels, par exemple les plantes et leur système racinaire pour stabiliser les sols, ou des zones humides pour gérer les eaux pluviales. Plusieurs avantages sont attendus : des coûts limités, un faible impact sur l’environnement et une pérennité accrue. Le concept intègre une réflexion sur les modes d’action (gouvernance, financement, gestion), nécessaire pour prendre en compte la complexité des co-bénéfices attendus (liés à la multifonctionnalité) ou la temporalité spécifique de solutions adossées au vivant.
Le cadre holiste des SfN permet de concevoir un ensemble de dispositifs et d’aménagements alternatifs et complémentaires aux solutions techniques conventionnelles. En raison de l’attention aux interactions entre les écosystèmes et le fonctionnement urbain, les SfN recoupent des notions existantes, comme les services écosystémiques ou la trame verte et bleue, mais apportent une dimension plus opérationnelle. Le concept a en effet été construit dès l’origine entre scientifiques, politiques et praticiens (Nesshöver et al. 2017).
Nantes offre un contexte favorable : la ville entretient une relation historique au végétal (Vadon 2002 ; Rialland 2013), relayée dans le savoir-faire du service des espaces verts, et un portage politique fort de la « Ville verte », par-delà les différents mandats électoraux. Cet intérêt pour les SfN correspond aussi au souhait de la collectivité d’une prise de recul et d’expérimenter, consécutif au regard critique sur certains projets de rénovation urbaine antérieurs (Moniz 2021).
Au-delà du cas nantais, l’intérêt des SfN est de renouveler les cadres traditionnels de la rénovation urbaine et des réflexions sur les grands ensembles. En France, la politique de la ville reste dominée par des approches urbano-architecturales et sociales (Epstein 2011), rarement reliées entre elles (Kirszbaum 2010). En outre, la dimension environnementale n’est intégrée qu’à la marge, étant surtout abordée par l’efficacité énergétique des bâtiments ou sous l’angle des questions de transports en commun. Au contraire, il est désormais attendu une lecture plus systémique, associant la forme urbaine, les difficultés socio-économiques des habitants et les aspects naturels ; et qui soit aussi en mesure d’aborder des aspects peu pris en compte par la rénovation urbaine, comme la santé physique et mentale, la qualité d’usage et l’esthétique des espaces publics, ou l’attachement des habitants à leur lieu de vie.
Réalisation : P. Bodénan, 2022 ; sources : Contours IRIS®2022 et Images Google2022.
Photos : P. Bodénan, 2022.
Des espaces verts abondants (et parfois de qualité) dans le quartier de grands ensembles : une surprise ?
Les espaces verts des grands ensembles sont généralement associés à des représentations très négatives : absence de qualité et forte densité bâtie (Adam 2013). Le travail de diagnostic réalisé à Nantes Nord, mené à la fois dans le cadre du Projet Global (Germe & Jam et al. 2017) et du projet de recherche Urbinat (Ferilli 2019), a permis de confronter ces représentations à un état des lieux plus objectif.
À rebours d’une densité excessive, Nantes Nord compte parmi les quartiers les plus verts de la ville. Le couvert végétal y représente 53 % de la superficie totale, alors que la moyenne de Nantes est de 45 % (AURAN 2018). Comme l’explique Michel Bonetti (2007), la représentation d’une forte densité bâtie dans les grands ensembles s’explique en réaction à un univers uniforme, monotone et déqualifié, davantage que par rapport à une densité effective. L’abondance d’espaces végétalisés n’est pas si surprenante, si l’on considère que la conception de ces lieux, dans la mouvance de l’urbanisme moderne, s’est tournée vers la conception d’espaces verts (Choay 1965 ; Auricoste 1994 ; Blanchon 2007). Cette présence tient aussi aux espaces végétalisés des zones pavillonnaires et d’activités avec les jardins et les zones interstitielles arborées ou engazonnées.
D’un point de vue qualitatif, le diagnostic relève un certain nombre de dysfonctionnements. Les espaces verts publics sont décrits comme « banalisés », parfois « délaissés » (Germe & Jam et al. 2017), rejoignant une critique classique des grands ensembles. À l’échelle du quartier, cette impression est renforcée par des parcs et jardins mal identifiés par les habitants et peu connectés avec le reste de l’espace public.
Des aspects qualitatifs sont aussi soulignés. À Nantes Nord, des héritages du paysage bocager – haies, anciens arbres têtards – ont été préservés et aménagés. Les espaces verts associés aux grands ensembles ont, quant à eux, fait l’objet d’aménagements importants – plantations (figure 3) et équipements – entrepris par la municipalité avec l’appui des services de l’État dès les années 1980 (figure 4). La présence d’espaces verts est vue comme un avantage à la lumière des connaissances sur les « services écosystémiques », c’est-à-dire la reconnaissance des bénéfices que les humains retirent des écosystèmes (MEA 2005), rendus par la nature en ville (Bolund et Hunhammar 1999 ; Dearborn et Karks 2010). On peut estimer que ces espaces verts apportent déjà des bénéfices en matière de biodiversité, de confort thermique ou d’esthétique.
Photo : P. Bodénan, 2022.
Photo : P. Bodénan, 2022.
Les diagnostics réalisés rendent aussi compte de l’épaisseur socio-culturelle du quartier. Ils mettent en évidence la relation complexe des habitants aux lieux en matière d’usages, de liens sociaux ou d’attachement. Une association locale a publié un ouvrage sur l’histoire récente du quartier (AASCEB 2007), relatant les baraquements installés après la guerre, les différents programmes de construction d’habitat social et populaire (associations d’autoconstruction). La dimension affective transparaît lors d’échanges avec les habitants, par exemple lorsqu’ils évoquent le quartier où ont « grandi [leurs] enfants ». Les espaces paysagers et naturels apportent des indices de cette relation, par exemple dans la personnalisation des parcelles des jardins familiaux de l’Amande ou les marques d’appropriation du jardin collectif de la Boissière.
Comment des espaces verts peuvent contribuer à la qualité de vie des habitants
Le diagnostic de Nantes Nord relate un bilan contrasté de la qualité des espaces verts dans le quartier, rejoignant ainsi les conclusions de plusieurs travaux de recherche sur les grands ensembles, rédigés par des urbanistes ou des paysagistes (Blanchon 2007, 2013 ; Hatzfeld et Moutton 2006 ; Delbaere 2016). La mise en évidence de qualités déjà existantes nuance les partis pris qui opteraient pour des interventions de destruction-reconstruction, visant à remplacer la forme urbaine actuelle. Pour autant, l’existant n’est guère satisfaisant. Dans le quartier de Nantes Nord, la richesse en espaces verts ne répond pas aux nombreuses attentes exprimées par les habitants en matière de santé, de bien-être, de lien social, de sécurité ou d’emploi, et corroborées par des indicateurs dégradés : taux d’obésité des enfants, chômage, etc. (Ferilli 2019).
En dépit d’atouts notables (l’abondance et parfois la qualité), la faible valorisation des espaces verts contribue in fine à confirmer le lien entre les groupes sociaux les plus vulnérables et un environnement dégradé, tel qu’établi par les travaux inscrits dans le courant de la justice environnementale (Bonard et Thomann 2009).
Se pose alors la question de la transformation de ces espaces verts, afin qu’ils participent à répondre aux enjeux du quartier.
À Nantes, le projet de rénovation ne remet pas fondamentalement en cause la structure urbaine moderne héritée, mais la mise en place de SfN restructure les espaces verts en affirmant leurs différentes fonctions : jardins, espaces de jeu, accès, cheminements. Par exemple, des bacs de culture installés par le service des espaces verts dans le jardin du Canada, plébiscités par les habitants, ont été confortés par une véritable parcelle de jardin partagé d’une centaine de mètres carrés, avec l’installation d’une clôture en ganivelle, un accès à l’eau, une signalétique, des plantations suivies. Ces SfN, pour partie déjà mises en œuvre dans le quartier par les services de la ville, portent sur le réaménagement du parc de l’Amande, la création d’un sentier de randonnée urbaine (la « boucle verte »), la mise en place de formes variées de jardinage urbain (« station gourmande », « jardin nourricier » et jardins collectifs). Les SfN concernent aussi des projets d’agriculture urbaine professionnelle (de petites exploitations maraîchères) ou la valorisation économique de l’important patrimoine arboré du quartier (Lacourt 2020).
Ces aménagements ne prennent leur sens qu’étayés par des activités développées par des acteurs locaux. Le Centre communal d’action sociale (CCAS) et des associations de jardinage, telles que Bio-T-Full ou Cultive Ton Bio, ont ainsi porté des ateliers de jardinage et de cuisine qui deviennent des supports d’éducation et de sensibilisation à l’alimentation ou favorisent la rencontre sociale. De la même façon, l’implication du service municipal de santé publique dans le réaménagement du parc de l’Amande et la mise en place d’une boucle de randonnée urbaine participent à développer un environnement favorable à la santé en devenant des supports incitant à l’activité physique, ou en offrant des espaces de ressourcement.
Au-delà des aménagements, interroger le processus d’intervention
Le réaménagement des espaces verts comme stratégie de rénovation urbaine n’est pas une idée nouvelle. Dès les années 1990-2000, de nombreux projets ont investi le registre de l’aménagement paysager en prenant le parti que « des continuités végétales » permettraient de favoriser « la continuité sociale, c’est-à-dire la non-exclusion, l’intégration sociale » (Micoud 1997, p. 27). L’une des principales critiques de ces opérations de « verdissement » est d’avoir porté une vision très aménagiste, privilégiant les aspects formels et l’image au détriment de la prise en compte des usages et des perceptions. Cela a rendu difficile l’appropriation des nouveaux aménagements par les habitants (Steindorsson et al. 2021).
Dans ce contexte, il est nécessaire de faire évoluer le processus d’intervention sur les espaces verts. La mobilisation de la participation citoyenne dans les projets de rénovation urbaine – dans le programme national (NPNRU) ou localement à Nantes dans la politique « Dialogue citoyen » – participe de cette évolution. Il s’agit d’impliquer les habitants dans la vie politique locale mais aussi d’enrichir le projet avec l’expertise des usagers, avec l’objectif de l’appropriation et la pérennisation des aménagements réalisés. Cela prend la forme de réunions publiques, d’ateliers, mais aussi de visites sur le terrain (figure 5).
Pour autant, la participation citoyenne pose encore de nombreuses questions. Au-delà des limites théoriques et méthodologiques relevées dans plusieurs cas (Montembault et Geisler 2022), l’expérience nantaise souligne la nécessité d’adaptation au contexte d’un quartier défavorisé. Elle met en évidence l’importance de la médiation et de l’animation des acteurs socio-culturels : service municipal de la santé publique, CCAS, associations. La participation citoyenne, dans le cadre du NPNRU, se heurte aussi à des difficultés structurelles, notamment la contractualisation des financements à un niveau national (Berry-Chikhaoui et Medina 2018), qui marque un système de gouvernance encore très descendant.
De manière plus générale, le concept des SfN amène aussi à interroger l’évaluation des aménagements, notamment avec l’idée de prendre en compte une large base d’enjeux plutôt que quelques indicateurs spécifiques (ce qui bouleverse de fait la performance attribuée aux SfN). Il participe aussi à reconsidérer l’articulation des aspects de conception et mise en œuvre avec la gestion, afin de mieux prendre en compte le moyen et le long terme. De fait, les SfN questionnent ainsi tout autant les conditions matérielles des aménagements que le processus d’intervention.
Photo : P. Bodénan, 2021.
Bibliographie
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